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État de siège :  » Il faut une formation accélérée des jeunes qui sont prêts à accompagner les forces armées congolaises dans la traque des groupes armés » (Joël Kambale de la Lucha)

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Mercredi, 24 novembre 2021-Voilà sept ans que l’armée congolaise et les forces de la Monusco n’arrivent pas à mettre fin aux carnages perpétrés dans la région de Beni-Irumu et qui ont déjà coûté la vie à plus de 7000 personnes selon les statistiques du rapport Yotama.

Les tueurs n’ont jamais été maîtrisés en dépit des opérations Sokola1 menées dans la zone depuis 2014.

En sept ans, tout crime, tout meurtre et tout massacre dans la région de Beni-Irumu est attribué à un groupe de présumés ADF.

Qui tue réellement à Beni-Irumu, se demande le militant de la Lucha ?

Qui invite le Bureau du Procureur de la Cour pénale internationale (CPI) d’étendre le champ des enquêtes sur les massacres mystérieux de l’Est de la République Démocratique du Congo pour couvrir les attaques qui ont commencé à Beni depuis le 2 octobre 2014.

Depuis l’avènement de l’État de siege, les attaques perpétrées contre des civils par des groupes armés se sont poursuivies dans deux provinces en proie aux conflits, a dénoncé, Joël Kambale, membre d’un mouvement citoyen œuvrant en Commune rurale d’oicha chef-lieu du territoire de Beni.

Celui-ci, invite le gouvernement congolais à une formation accélérée des jeunes qui sont prêts à accompagner les forces armées congolaises dans la traque des groupes armés qui tuent et terrorisent la population civile, qui a tout à abandonner dans plusieurs villages d’origines au Nord-Kivu et Ituri..

Samuel KATEMBO BIN MWERIVWA

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