Jeudi, 13 octobre 2022-Le concours de recrutement des magistrats suscite plusieurs polémiques sur une probable fraude où tricherie lors du test effectué sur toute l’étendue du pays le dimanche 9 octobre dernier.
Maître Willy wenga, avocat au barreau de Kinshasa Gombe a éclairé l’opinion publique sur ces allégations.
Tout est parti des révélations de Jean-Claude Katende de l’Asadho sur une prétendue circulation des questionnaires un jour avant le test.
« J’ai suivi avec intérêt les déclarations de Katende voir même du procureur général près la cour de cassation. Il est vraiment hasardé de parler de la possibilité de la tricherie où d’annulation, dès lors que l’autorité qui a supervisé ces épreuves n’a pas constaté où reçu ces genres des plaintes », a-t-il dit.
Dans ce genre de cas, poursuit-il, lorsqu’on parle de fraude où tricherie il faut des preuves.
« Au moment où il n’y a pas de preuve ce que je ne pense pas qu’il faut suivre » a-t-il déclaré aux antennes de la radio top Congo.
Pour cet avocat au barreau de Kinshasa Gombe, il faut mesurer l’impact de la tricherie des épreuves.
Est-ce que c’est tout le monde qui avait fait le test à Bukavu qui aurait tricher ? Est ce que la faute serait de l’organisateur où du superviseur ? Faute de réponse sur ces questions, ce formateur des avocats appelle Jean Claude katende à laisser le conseil supérieur de la magistrature faire son travail et respecter son calendrier « pour nous donner des résultats attendus au moment opportun ».
Albert YEMBA