Mercredi, 5 juillet 2023-Les faits sont sacrés, dit-on en journalisme. Les commentaires, c’est selon au gré des idées ou des préoccupations des estomacs. La réhabilitation de Julie Ngungwa Gouverneur du Tanganyika est un fait.
Mardi 4 juillet 2023, c’est la plus haute Cour de la République qui l’a consacré et non en avant-dire-droit.
Droitement, la Cour Constitutionnelle a reconnu ce qui était d’ores et déjà décrié à cor et à cri par l’influenceuse Denise DUSAUCHOY.
Dans sa décision rendue le 4 juillet suite à la motion de déchéance validée à la va vite par l’assemblée provinciale du Tanganyika contre la patronne de l’Exécutive de cette province, les hauts juges ont statué en reconnaissant les violations des articles 19 alinéa 3 et 61.5 de la Constitution.
Pour rappel, la journaliste Denise Dusauchoy insistait déjà, début Mai à l’aube de l’acte cavalier de l’assemblée provinciale sur l’illégalité de la démarche visiblement politiquement commandé et qui n’avait même pas respecté la procédure conforme au règlement intérieur de la même assemblée.
Le droit a été donc dit et de la plus belle des manières par la plus grande instance habilitée.
Constante dans sa démarche de défendre tout intérêt du régime en place et d’être du bon côté de l’histoire en défendant toute cause juste, sur ce dossier nul ne pourra dire que Denise DUSAUCHOY a manqué au rôle qui peu à peu lui colle à la peau. Oui, il s’agit bel et bien de la gardienne du temple du Pouvoir en place, précisément, des intérêts du pays, au-delà de tout. Car la justice est le fondement de toute grande nation.
« La réhabilitation de la Jeanne d’Arc du progrès du Tanganyika est une victoire pour la justice », à en croire les analyses croisées qui, profondément mettaient déjà aux yeux du monde les complots boutiqués pour déstabiliser sur fond des mensonges et coups politiques savamment lancés.
LA RÉDACTION