Lundi, 23 octobre 2023-Depuis un certain temps, des communicateurs politiques improvisés et autres journalistes fabriqués et sans éthique professionnelle se lancent, dans des critiques sans aucun fondement autour de la gestion du comité de Gestion de l’Etablissement Public Transports au Congo TRANSCO en sigle. Lors de l’émission Libre Débat de la chaîne de télévision CML 13 diffusée égalent sur YouTube le 07 octobre dernier, certains invités pour des raisons obscures, se sont mis à dire des contrevérités sur la modeste personne du Directeur Général de TRANSCO et son Adjoint, les accusant par ailleurs de détournement des fonds Publics sans aucune preuve, alors que ces pseudos chroniqueurs donnaient l’impression de maîtriser la gestion de cet Établissement Public de transports.
En effet, en aucun cas depuis son installation, l’actuel comité de gestion de TRANSCO n’a failli aux responsabilités lui assigner par les lois de la République et par le chef de l’État, Félix Antoine TSHISEKEDI. Cela contrairement à ce qui se distillent au travers des médias traditionnels par les détracteurs de TRANSCO qui sembleraient-ils être prétendument communicateurs soit journalistes mal formés et moins informés .
Les textes portant création de TRANSCO dispose que, cet établissement public de transports a comme sources de revenu entre autre: la subvention d’exploitation ainsi que la subvention d’équilibre. Fort malheureusement, à cause de la guerre nous imposer injustement par les ennemis de la RDC, bientôt une année depuis son installation, l’actuel comité de gestion n’a jusque là bénéficié d’aucune subvention d’équilibre de la part du gouvernement.
Malgré son autonomie de gestion et face à une trésorerie précaire hérité des anciens animateurs de TRANSCO, l’actuel comité de gestion de cet Établissement Public de transports se distingue par son sens managérial, en posant des actions méritoires et exceptionnelles marquant un ouf de soulagement pour tout son personnel.
Y’a t-il Carence des mécaniciens en provinces?
Dans leurs déclarations, les invités du magazine Libre Débat ont évoqué une carence des mécaniciens dans les agences provinciales, c’est qui est totalement faux et archi-faux. Avec certitude, il est important d’affirmer que dans chaque province où sont déployés les bus TRANSCO, il y a toute une équipe dirigée par un mécanicien en chef très bien formé pour prendre en charge et éventuellement bien s’occuper, de toute sorte de pannes automobiles liées à ces engins roulants. En outre, toutes les équipes de mécaniciens affectées en provinces travaillent en étroite collaboration avec la Direction Technique de TRANSCO se trouvant à Kinshasa et ses différentes agences de l’intérieur du pays notamment en ce qui concerne la fourniture en pièces de rechange selon la disponibilité de stocks acquis sur fonds propres.
De la Suppression de quelques lignes
Sans toute forme de procès, il n’y a aucune vérité lorsque les détracteurs de TRANSCO affirment sans aucune honte dans une chaîne de télévision qui se veut sérieuse, que cet Établissement Public durant la gestion du comité MBERE a procédé à la suppression de quelques lignes urbaines de la ville de Kinshasa. Ici, le public doit par contre retenir que depuis l’avènement de l’actuel comité de gestion, d’autres lignes urbaines ont été créées dans la capitale congolaise entre-autres :
PASCAL-MONGATA
CECOMAF-GAMBELA
CECOMAF-ZANDO
KIMWENZA-ROND POINT NGABA.
Du prétendu pléthore des agents nouvellement engagés
« Il n’y a pas pléthore des agents au sein de TRANSCO », c’est le constat fait d’ailleurs lors de la dernière réunion extraordinaire du Conseil d’Administration tenue sous la présidence du ministre des Transports Marc Ekila LIKOMBO le 12 septembre 2023 dans son cabinet de travail, en présence notamment du PCA Thaylor LUBANGA et d’autres membres du Conseil d’Administration. Il faut par cependant retenir que l’augmentation du nombre des agents s’explique du fait que TRANSCO a décidé 10 ans après son existence, de créer grâce au management éclairé de son Directeur Général Cyprien MBERE, son propre centre de santé, dans le but d’offrir des soins de santé de qualité aux agents et cadres de TRANSCO, mais surtout réduire les dépenses de l’Etablissement dans ce secteur en mettant fin à des contrats budgétivores signés avec des prestataires de santé privés, bien avant l’arrivée du comité MBERE. Et cela implique le recrutement d’un personnel qualifié.
Dans la même optique, il faut signaler la résiliation des contrats avec des sociétés de gardiennage signés par les prédécesseurs du bâtonnier Mbere, tout en mettant en place un service de sécurité interne. Il faut a cela ajouter l’installation de nouvelles agences en provinces dans le cadre du déploiement des bus TRANSCO dans les provinces du pays, comme le veut le président de la République Felix TSHISEKEDI TSHILOMBO.
D’ailleurs la mise en place de ce centre de santé, mais également la création d’un service de sécurité interne a permis a TRANSCO de faire des économies à hauteur de 12.000$ le mois.
De la sois disant promotion en grade sans mérite
La promotion en grade et les affectations chez TRANSCO ne se font jamais sur base de la présentation d’une carte de membre soit disant d’un quelconque parti politique comme annoncé par ces communicateurs improvisés . Sans complaisance, la promotion de grade et les affectations se font plutôt en tenant compte d’un certain nombre de critères d’éligibilité à l’instar de : l’ancienneté, la disponibilité, la méritocratie mais surtout le niveau d’études de tel ou tel autre agent œuvrant au sein de l’établissement public Transports au Congo, TRANSCO.
Salaire de base moins consistant
Certes, de nos jours avec le conjoncture du pays, le salaire de base ne correspond pas au travail de qualité et des sacrifices consentis par les agents de TRANSCO.
Mais c’est qui est probable, avec l’acquisition imminente des nouveaux bus montés à Kinshasa, sous l’impulsion du Président de la République, il est possible et envisageable de constater une légère augmentation des salaires des agents de TRANSCO, endéans une période raisonnable.
Mais il est important de rappeler que, le prix de 500fc du ticket appliqué par TRANSCO a été fixé par le gouvernement depuis plus de 10 ans, alors que la situation socio-économique du pays montre clairement que cela ne représente plus rien à ce jour.
D’où la difficulté du comité de gestion, de se lancer dans l’augmentation de salaire sans aucune garantie auprès du propriétaire de TRANSCO, qui est l’Etat congolais.
Manque d’entretien des bus
Il y a des spéculations qui se font dans les têtes de certains communicateurs concernant l’entretien des bus TRANSCO. Pour taire à cette polémique qui n’a aucun soubassement, TRANSCO laisse ouverte sa Direction Technique à la presse objective, question de s’enquérir du travail de cette Direction concernant principalement l’entretien bus de manière générale, en particulier le prétendu chauffage constaté.
Du déclassement des véhicules
Autres précisions de taille, depuis que l’actuel comité de gestion fut installé en novembre 2022, il n’y a jamais eu déclassement des bus TRANSCO, contrairement aux rumeurs faisant tâche d’huile sur la toile. Ce qui est vrai, la procédure en la matière est en cours et attend l’aval des autorités compétentes.
Service Ukraine
Le service nuit communément appelé « Ukraine » a vu le jour au mois de septembre 2022 avec le comité de gestion TSHIPAMBA,lors de la pénurie de carburant dans la ville de Kinshasa. Ce service a été créé avec pour objectif principal de faciliter le déplacement des Kinois jusque tard dans la nuit. Quoi de plus normal que les équipages bénéficient d’une prime spéciale.
Tout ceci pousse à dire que ce qui se raconte par des hommes de mauvaise foi à travers les médias ne sont simplement que des faux bruits initiés dans le but de se faire du buzz et aussi de saper tous les efforts que l’actuel comité de gestion de TRANSCO est entrain de fournir dans ce sous-secteur, des efforts considérables selon la vision du chef de l’État. Heureusement 10 ans après, les agents de TRANSCO sont devenus murs et ne feront plus confiance à tous les vendeurs d’illusions qui ne rêvent que de la faillite de cet Établissement Public, devenu au fil des années le symbole de l’unité nationale.