Mercredi, 29 septembre 2021-À l’occasion de la faible représentativité de la jeune fille en milieu scolaire à Demba (année scolaire 2021-2022), la lizadeel Demba invite toutes les parties prenantes « les parents, les autorités éducationnelles, les partenaires et l’élève » d’arrêter des précautions nécessaires pour booster un pourcentage égal entre filles et garçons à la prochaine scolarité.
Selon Marcel Masanka, point focal de la lizadeel Demba qui nous livre cette information, les véritables raisons de cette situation sont les coutumes qui sont à la base des causes de la défaite de la jeune fille à l’école.
D’où son appel aux parents de réserver un traitement d’égal à égal à leurs enfants.
« Dans les milieux urbains, les parents ont tendance à envoyer les filles tôt en mariage et privilégier la scolarité des garçons. C’est un problème de coutume et mentalité. Les filles abandonnent souvent les études suite aux conditions d’accessibilité des écoles en milieu urbain, soit la distance exagérée des résidences vers les lieux des écoles, ce qui est familier aux garçons. Les parents sont censés réserver l’amour égalitaire à tous les enfants quel soit le sexe ” a-t-il interpellé.
De ce fait, il recommande une prise en charge des apprenants urbains par le gouvernement provincial et L’UNICEF.
“Nous demandons à l’UNICEF d’appuyer la lizadeel Demba dans les sensibilisations afin de concrétiser son propre slogan ‘toutes les filles à l’école’ car, ajoute-t’il, des multiples mains fortes sont prêtés aux écoles du centre ville, mais ici dans les les villages, on nous laisse volé de nos propres ailes, raison pour laquelle on echoue ” a-t-il précisé.
Retenez que la lizadeel Demba a procédé à un monitoring depuis le début de la semaine préparant les esprits des élèves et chefs d’établissement pour la rentrée scolaire prévue pour le 4 octobre prochain.
Don de Dieu NTUMBA à Kananga