Dimanche, 13 février 2022-Réunis autour de Jean-Claude Dikuama, Président de la délégation syndicale de l’OGEFREM/Agences de Boma et Muanda, les cadres et agents de cet office qui ont toujours soutenu les actions de leur Directeur Général Olivier Manzila Mutala qui, depuis qu’il préside aux destinées de cette entreprise, est plus que déterminer de la redresser afin de redonner du sourire à tous ses collaborateurs tant de la ville province de Kinshasa que de l’intérieur de la République Démocratique du Congo et ce, suivant la vision du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, ont adressé un message très fort en direction des autorités hiérarchiques du pays afin de laisser ce dernier redorer le blason longtemps terni de l’OGEFREM.
Pour tous ces cadres et agents qui prônent le changement, le D.G a.i est tout simplement victime d’un acharnement délibérément orchestré par un groupe de personnes recruter au sein même de leur siège qui se livrent sans vergogne à le combattre à tout prix en lieu et place de lui laisser poursuivre ses actions de redressement axées sur la lutte contre les anti-valeurs ayant autrefois gangrené la gestion de l’Office.
Ils mettent à cet effet en garde tous ces fauteurs des troubles qui sont contre l’épanouissement de l’OGEFREM à travers le D.G a.i, Olivier Manzila Mutala qui, du reste, est résolument engagé à la vision de Fatshi-béton qui met le peuple à l’avant plan de toutes ses actions.
Tous les travailleurs de cet office prestant dans les agences de Boma et de Muanda ne jurent que sur la présence d’Olivier Manzila Mutala qui vient d’instaurer à la fois l’équité et l’équilibre dans la gestion des finances de l’entreprise devenues de plus en plus orthodoxes et transparentes.
Raison pour laquelle ces cadres et agents, comme un seul homme, prometent d’observer un arrêt de travail au cas où leur D.G a.i ne sera pas libéré au plus vite.
Car, disent-ils, ils trouvent anormal que ce dernier qui, dans un temps record, a répondu positivement à leurs attentes soit aujourd’hui mal compris par ceux-là même qui, pour des intérêts égoïstes, ont voulu entraîner l’OGEFREM dans le gouffre.
De cela, ils invitent les autorités du pays, à l’occurrence leur ministre de tutelle, de bien vouloir le défendre et le sécuriser jusqu’à ce qu’il va recouvrer sa liberté et réhabiliter dans ses fonctions.
Dieudonné MUAKA DIMBI